Francesco Bearzatti : clarinette • Federico Casagrande : guitare
Elle démarre en 2017 avec des compositions de Francesco Bearzatti et, en miroir, se poursuit aujourd’hui avec celles de Federico Casagrande. La complicité entre ces deux artistes crée un instant de chaleur et de bienveillance immédiat. Ils comptent bel et bien parmi ces heureux duos qui ne font qu’un en s’offrant des pistes l’un à l’autre, en s’y aventurant ensemble sereinement. De nuit comme de jour ils avancent, musiciens précis, poètes libres et gentlemen élégants. Si parfois dans leurs inspirations emmêlées et interactives une certaine mélancolie les prend, elle caresse l’âme plus qu’elle ne la noircit. Et il fait toujours bon vivre dans leur clair-obscur regorgeant de détails, leurs tensions maîtrisées, leurs envolées lyriques colorées, leur osmose fraternelle.
Elle démarre en 2017 avec des compositions de Francesco Bearzatti et, en miroir, se poursuit aujourd’hui avec celles de Federico Casagrande. La complicité entre ces deux artistes crée un instant de chaleur et de bienveillance immédiat. Ils comptent bel et bien parmi ces heureux duos qui ne font qu’un en s’offrant des pistes l’un à l’autre, en s’y aventurant ensemble sereinement. De nuit comme de jour ils avancent, musiciens précis, poètes libres et gentlemen élégants. Si parfois dans leurs inspirations emmêlées et interactives une certaine mélancolie les prend, elle caresse l’âme plus qu’elle ne la noircit. Et il fait toujours bon vivre dans leur clair-obscur regorgeant de détails, leurs tensions maîtrisées, leurs envolées lyriques colorées, leur osmose fraternelle.




